Presse

Presse

FORUMOPERA.com

Emanuela Pascu[…] issue de l’Académie de l’Opéra national de Paris, dispose d’un timbre séduisant aux sonorités délicatement ambrées.
Christian Peter

premiereloge-opera.com

Emanuela Pascu, pour ses premiers pas sur la scène liégeoise, remporte un très grand succès en Hedwige, dont elle fait presque un rôle de premier plan par la qualité de sa projection, la beauté du timbre, le soin apporté à la ligne de chant. 
Stéphane Lelièvre

resmusica.com

Emanuela Pascu (en épouse attentionnée Hedwige), notre coup de cœur féminin de cette production. Formée à Bucarest et à l’Académie de l’Opéra national de Paris, la mezzo enchante avec des graves rutilants et un aigu idéalement corsé.
Benedict Hévry

premiereloge-opera.com

Emanuela Pascu campe une princesse égyptienne taillée dans le plus beau marbre : la pulpe du timbre de mezzo est opulente et les scènes où les deux rivales s’affrontent sont proprement électrisantes à l’image du duo du début de l’acte II.
Nicolas Le Clerre 

resmusica.com

Prestation très remarquée d’Emanuela Pascu en Amnéris, avec des graves de bronze, des aigus retentissants et de superbes couleurs vocales sur toute la ligne. Pierre Degott

forumopera.com

Emanuela Pascu est une merveilleuse Amneris, dont le mezzo profond et grave confère une noblesse indéniable à une âme tourmentée par des affres de jalousie très palpables. Ses « Pace » résonnent longtemps dans un stade sous le charme. Catherine Jordy

olyrix.com

Emanuela Pascu, mezzo-soprano roumaine, chante avec une technique assurée, beaucoup de fierté et de détermination dans sa tenue de souffle une mélodie du compositeur russe Serguei Rachmaninov. Agostino Trotta

anaclase.com

Épouse du médecin traitant, le contralto Emanuela Pascu rivalise de force dramatique avec le ténor Colin Judson, directeur funéraire, puis, après quelques accents de riches percussions, de clavecin et d’orgue, avec le mezzo Helene Schneiderman en Susie…jusqu’à l’explosion hystérique et savoureuse de la piquante Mrs. Doc qu’incarne avec brio Emanuela Pascu [lire notre chronique d’Hamlet]. François Cavaillès

concertclassic.com

On y remarque surtout Emanuela Pascu, qui confirme, après sa récente reine Gertrude dans Hamlet à Saint-Etienne, qu’elle dispose de moyens vocaux considérables, auxquels s’ajoute cette fois une forte personnalité théâtrale.
Laurent Bury

olyrix.com

Emanuela Pascu impressionne dans le rôle de la Reine Gertrude. Voix de mezzosoprano large et à l’ambitus imposant, elle s’empare du rôle avec autorité et une ardeur communicative.
José Pons

opera-online.com

La Reine Gertrude tombe à point dans les cordes des imposants moyens vocaux de la mezzo roumaine Emanuela Pascu, qui nous avait déjà beaucoup impressionnes dans le rôle-titre d’Hérodiade sur cette même scène en 2019.
Emmanuel Andrieu

gbopera.it

Belle voix aussi celle d’Emanuela Pascu, mezzo-soprano qui frise le contralto. Ligne de chant parfaite, phrasé musical aux jolies tenues piano. Scéniquement bien dans son rôle elle anime la scène tout en chantant avec Tatiana dans un duo équilibré. Une voix profonde, chaleureuse que l’on écoute avec grand plaisir.
Jocelyne de Nicola

resonances-lyriques.org

La mezzo Emanuela Pascu est, en tous points, une remarquable Olga : voix charnue, timbre sombre et somptueux, ligne de chant impeccable. Le chemin lui est largement ouvert pour les grands rôles adaptés à sa tessiture.
Christian Jarniat

operatoday.com

Mezzo soprano Emanuela Pascu is making her career in France though she returns to Bucharest from time to time to sing what must be a beautifully voiced Carmen. Her brilliant first act aria moved effortlessly through the Carmen tessatura with a lightness of spirit that made her Olga a charming, capricious if uncomplicated young woman in love who when called upon could add a powerful, vocally dramatic presence to Tchaikovsky’s masterfully constructed first and second act ensembles.
Michael Milenski

olyrix.com

Si l’opéra de Tchaïkovski met en scène un amour impossible pour Tatiana, le public de Marseille ne cache pas ses sentiments envers Olga incarnée par Emanuela Pascu[…] Les premières notes chantées par Emanuela Pascu dans le rôle d’Olga figent l’auditoire puis se confirment. Son mezzo-soprano aussi timbré qu’homogène saisit le rôle et la ligne vocale dans son assise tragique et ornée.
Nicolas Darbon

arts-spectacles.com

La fougue et la fraîcheur juvénile d’Olga conviennent fort bien à Emanuela Pascu. Il y a de la Carmen, de l’Amnéris ou de l’Azucena en stock chez cette belle mezzo.
Christian Colombeau

bachtrack.com

La mezzo roumaine Emanuela Pascu séduit plus immédiatement en Olga, avec un grave naturel dense et profond d’une belle couleur et des extensions faciles vers le registre aigu. Une chanteuse décidément à suivre !
François Jestin

forumopera.com

Première révélation, Emanuela Pascu, dont le timbre a des profondeurs de contralto, ce qui donne à son Olga une densité inattendue, heureusement couplée avec un délié jeu de scène.
Maurice Salles

olyrix.com

La mezzo roumaine Emanuela Pascu sait faire pétiller son instrument comme un champagne sucré et insistant en Comtesse, mais aussi émouvoir avec la simplicité d’un timbre débarrassé de scories larmoyantes en Madelon.
Florence Lethurgez

opera-online.com

Dans le rôle-titre, la jeune mezzo roumaine Emanuela Pascu – Prix du Public au Concours international de Bordeaux en 2016 et membre de l’Académie de l’Opéra national de Paris – campe une Hérodiade élégante et sensuelle à la fois, au tempérament fier et passionné. La voix apparaît aussi puissante dans l’aigu que ronde et sonore dans le grave, toujours au service d’une très belle ligne de chant.
Emmanuel Andrieu