Presse

30.03.2022

olyrix.com

Emanuela Pascu, mezzo-soprano roumaine, chante avec une technique assurée, beaucoup de fierté et de détermination dans sa tenue de souffle une mélodie du compositeur russe Serguei Rachmaninov.
Agostino Trotta

13.03.2022

anaclase.com

Épouse du médecin traitant, le contralto Emanuela Pascu rivalise de force dramatique avec le ténor Colin Judson, directeur funéraire, puis, après quelques accents de riches percussions, de clavecin et d’orgue, avec le mezzo Helene Schneiderman en Susie…jusqu’à l’explosion hystérique et savoureuse de la piquante Mrs. Doc qu’incarne avec brio Emanuela Pascu [lire notre chronique d’Hamlet].
François Cavaillès

10.03.2022

concertclassic.com

On y remarque surtout Emanuela Pascu, qui confirme, après sa récente reine Gertrude dans Hamlet à Saint-Etienne, qu’elle dispose de moyens vocaux considérables, auxquels s’ajoute cette fois une forte personnalité théâtrale.
Laurent Bury

01.02.2022

olyrix.com

Emanuela Pascu impressionne dans le rôle de la Reine Gertrude. Voix de mezzosoprano large et à l’ambitus imposant, elle s’empare du rôle avec autorité et une ardeur communicative.
José Pons

01.02.2022

opera-online.com

La Reine Gertrude tombe à point dans les cordes des imposants moyens vocaux de la mezzo roumaine Emanuela Pascu, qui nous avait déjà beaucoup impressionnes dans le rôle-titre d’Hérodiade sur cette même scène en 2019.
Emmanuel Andrieu

17.02.2020

gbopera.it

Belle voix aussi celle d’Emanuela Pascu, mezzo-soprano qui frise le contralto. Ligne de chant parfaite, phrasé musical aux jolies tenues piano. Scéniquement bien dans son rôle elle anime la scène tout en chantant avec Tatiana dans un duo équilibré. Une voix profonde, chaleureuse que l’on écoute avec grand plaisir.
Jocelyne de Nicola

16.02.2020

resonances-lyriques.org

La mezzo Emanuela Pascu est, en tous points, une remarquable Olga : voix charnue, timbre sombre et somptueux, ligne de chant impeccable. Le chemin lui est largement ouvert pour les grands rôles adaptés à sa tessiture.
Christian Jarniat

16.02.2020

operatoday.com

Mezzo soprano Emanuela Pascu is making her career in France though she returns to Bucharest from time to time to sing what must be a beautifully voiced Carmen. Her brilliant first act aria moved effortlessly through the Carmen tessatura with a lightness of spirit that made her Olga a charming, capricious if uncomplicated young woman in love who when called upon could add a powerful, vocally dramatic presence to Tchaikovsky’s masterfully constructed first and second act ensembles.
Michael Milenski

15.02.2020

olyrix.com

Si l’opéra de Tchaïkovski met en scène un amour impossible pour Tatiana, le public de Marseille ne cache pas ses sentiments envers Olga incarnée par Emanuela Pascu[…] Les premières notes chantées par Emanuela Pascu dans le rôle d’Olga figent l’auditoire puis se confirment. Son mezzo-soprano aussi timbré qu’homogène saisit le rôle et la ligne vocale dans son assise tragique et ornée.
Nicolas Darbon

12.02.2020

arts-spectacles.com

La fougue et la fraîcheur juvénile d’Olga conviennent fort bien à Emanuela Pascu. Il y a de la Carmen, de l’Amnéris ou de l’Azucena en stock chez cette belle mezzo.
Christian Colombeau

12.02.2020

bachtrack.com

La mezzo roumaine Emanuela Pascu séduit plus immédiatement en Olga, avec un grave naturel dense et profond d’une belle couleur et des extensions faciles vers le registre aigu. Une chanteuse décidément à suivre !
François Jestin

11.02.2020

forumopera.com

Première révélation, Emanuela Pascu, dont le timbre a des profondeurs de contralto, ce qui donne à son Olga une densité inattendue, heureusement couplée avec un délié jeu de scène.
Maurice Salles

23.11.2019

olyrix.com

La mezzo roumaine Emanuela Pascu sait faire pétiller son instrument comme un champagne sucré et insistant en Comtesse, mais aussi émouvoir avec la simplicité d’un timbre débarrassé de scories larmoyantes en Madelon.
Florence Lethurgez

17.11.2018

opera-online.com

Dans le rôle-titre, la jeune mezzo roumaine Emanuela Pascu – Prix du Public au Concours international de Bordeaux en 2016 et membre de l’Académie de l’Opéra national de Paris – campe une Hérodiade élégante et sensuelle à la fois, au tempérament fier et passionné. La voix apparaît aussi puissante dans l’aigu que ronde et sonore dans le grave, toujours au service d’une très belle ligne de chant.
Emmanuel Andrieu